Compénétration des rites et apports orientaux
dans le rite des Gaules

 

 

La compénétration des divers rites

... aucun rite n’a pu rester complètement imperméable aux influences du dehors et sans influence sur les autres. Les échanges et les emprunts entre les divers rites locaux ont, au contraire, toujours été de règle. Quoi de plus légitime qu’une liturgie s’enrichissant d’apports nouveaux ? Les membres du corps vivant de l’Église ne se doivent-ils pas une communion réciproque permanente ? Si nous constatons à notre époque une certaine cristallisation des rites byzantin, romain, syriaque ou arménien, la raison en est dans le déchirement tragique des Églises, le repliement de chacune sur elle-même, leur fanatisme d’un style, d’une forme, d’une tradition locale, trahissant la catholicité et l’universalité de l’Église orthodoxe.

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Légitimité et mode de compénétration des rites

Certes, la liturgie des Gaules contient sa propre richesse dogmatique et patristique ; il n’existe, néanmoins, aucun motif valable pour priver les Français de l’enseignement des saint Jean Damascène, saint Roman le Mélode, saint Éphrem le Syrien, saint André de Crète, etc. à condition, bien entendu, que ces emprunts ne supplantent en rien le patrimoine occidental, ni ne brisent la structure antique.

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Les apports orientaux dans l'ancien rite des Gaules

La Commission liturgique de 1961, présidée par l’Archevêque Jean de San Francisco, « a constaté que, sans briser l’unité du rite, la liturgie de l’Église orthodoxe de France a fait cependant quelques emprunts à l’Orient. »

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