(Constantinople, Alexandrie, Antioche, Jérusalem et 12 métropolites) aux très honorés et bien-aimés en Christ, les archevêques, évêques et très honorable clergé de l’Église anglaise.
Extrait
« Nous avons pris connaissance du désir de l’union de l’Eglise qui trouve chez vous sollicitude et dévouement. Cette union est la fortification des croyants et par elle Notre Seigneur et Dieu Jésus-Christ est le Bien servi, Lui qui a posé comme condition de communion avec Lui par ses saints Apôtres l’amour réciproque, la concorde et l’unité de l’esprit parmi les chrétiens. »
Cette lettre (base œcuménique au 18 siècle) pose comme fondement de l'union le dogme de l'Eglise Indivise et elle souligne :
« Ce qui concerne les différentes coutumes et rituels ecclésiastiques ainsi que la manière de célébrer la Sainte Liturgie (Messe), tout cela. L’union étant réalisée, il sera, avec l’aide de Dieu, facile et simple de le modeler, car selon l’histoire de l’Eglise, le fait est connu de tous, certaines coutumes diffèrent selon les lieux et les Eglises, mais l’unité de la Foi, l'unité de l’Esprit dans les dogmes doit rester inébranlable. »